Que faisiez-vous avant l'IESA arts&culture ?
Avant d’intégrer l’IESA arts&culture, j’ai étudié l’Histoire de l’Art au lycée et un an en Hypokhâgne. L’Hypokhâgne m’a servi à réfléchir une année supplémentaire sur mon orientation, et à m’habituer à Paris (je viens de Rouen). J’ai également beaucoup étudié les arts plastiques en option au lycée, ce qui m’a permis de comprendre à la fois la théorie de l’art et sa pratique.
Pourquoi avez-vous choisi l'IESA arts&culture ?
Lors d’un salon étudiant que je visitais l’année de ma première, j’ai découvert l’IESA arts&culture et les cursus qu’elle proposait. Les cours in situ m’ont beaucoup intéressée, ainsi que l’opportunité de suivre des stages dans beaucoup de milieux du marché de l’art et de l’événementiel.
Quels sont d’après vous les plus de cette formation en marché de l'art ?
L’aspect professionnalisant du Bachelor Expertise et commerce de l'art est un atout non négligeable dans le milieu très exigeant du marché de l’art. Découvrir très tôt les rouages du marché de l’art et avoir l’opportunité de rencontrer les acteurs de ce marché dans le cadre des stages est très enrichissant et utile à notre insertion personnelle dans le marché du travail. Je trouve aussi les cours in situ très formateurs, ils nous permettent de nous confronter directement à la vie des professionnels du marché de l'art, qu’ils soient artisans, artistes ou marchands et experts.
Quel a été jusqu'à présent le "temps fort" de votre cursus ?
Le voyage de première année à Florence a été pour moi l’occasion de découvrir les chefs d’œuvres de la Renaissance toscane et italienne, et de passer un séjour très agréable avec la classe et les professeurs. C’est une sorte de « revival » des classes découvertes, mais enrichies d’un programme de visites intensif et éblouissant.
Comment se sont passés vos stages dans le cadre de cette formation ?
Dans le cadre de mes stages, je dirais que tout a été très agréable et intéressant. J’ai eu notamment la chance cette année d’être en stage dans une jeune galerie d’art contemporain, la Kogan Gallery. Ce stage m’apporte énormément, car la galerie, ayant à peine un an, nécessite un investissement personnel très important pour tout ce qui concerne le développement du réseau et la communication des événements. J’ai déjà contribué à la formation de deux expositions, et d’autres sont en cours ! C’est très motivant !
Je conseillerai aux futurs ou jeunes étudiants de l’IESA de ne pas se cantonner aux stages relatifs à leur spécialité, mais de saisir toutes les opportunités et de multiplier les stages afin de se broder un réseau important de relations professionnelles et de profiter au maximum de leurs expériences personnelles.
Que souhaitez-vous faire plus tard ?
Question piège… Je n’en suis pas encore sûre, mais je pense déjà que je ne pourrai pas me passer de travailler avec des artistes jeunes et dynamiques, pour toujours ressentir une volonté d’innover dans le cadre des expositions et d’œuvrer pour les faire découvrir au public. Après la fin de mes trois années d’études à l’IESA arts&culture, je compte continuer mes études à l’étranger et découvrir par la même occasion d’autres manières d’envisager la représentation des artistes contemporains.