Yunmi Cho, ancienne étudiante coréenne en Bachelor Expertise et commerce de l'art.
Quelle formation avez-vous suivi à l’IESA et en quelle année ?
J’ai suivi une formation en Bachelor Marché de l’art de 2008 à 2011.
Que vous a-t-elle apportée, quels sont vos meilleurs souvenirs ?
Tout d’abord, j’ai acquis de l’expérience dans de nombreux domaines artistiques. Ensuite, les cours dispensés, les visites de musées, ainsi que les intervenants étaient très intéressants et ces trois années se sont révélées très enrichissantes. De plus, la rencontre avec la culture française a été facilitée, puisque les étudiants français m’ont aidé à m’intégrer, tout cela m’a permis de nouer des amitiés.
Quels stages aviez-vous faits et en quoi vous ont-ils servis pour votre parcours professionnel ?
J’ai travaillé dans la galerie ITEM, Art et Société, j’y ai rencontré des artistes de différentes nationalités. Dans le cadre de ce stage, j’ai conseillé les gens sur les œuvres présentes dans la galerie.
Qu’avez-vous fait à la sortie de l’école ?
A la fin de mes études, je suis retourné en Corée du Sud. J’ai travaillé dans une galerie, où j’ai cherché des jeunes artistes à exposer afin de les aider à se faire connaitre. Cependant, la tâche n’a pas été facile car les jeunes artistes sont timides.
En effet, en Corée les jeunes ne sont pas intéressés par l’art à cause de notre mentalité. À la suite de cette expérience, j’ai arrêté la recherche des jeunes artistes pour me concentrer plutôt sur l’éducation. Ainsi, j’ai commencé à enseigner l’art aux jeunes enfants, notamment en histoire de l’art, ou encore les bons réflexes pour regarder les œuvres, et j’ai initié les jeunes à la peinture.
Quel est votre métier aujourd’hui ?
Comme dit précédemment, j’ai ouvert un centre d’éducation à l’art pour les jeunes enfants. Maintenant, j’ouvre un studio d’art pour les adultes, et je dirige également une galerie, centrée sur le développement de l’éducation, la découverte de jeunes artistes, et la rédaction de plans d’exposition pour aider le public dans sa visite.
Que diriez-vous à un étudiant qui voudrait s’inscrire à l’IESA par rapport à votre propre parcours ?
Cette école est une école où vous pouvez avoir beaucoup d’expériences artistiques. Vous pouvez cultiver le pouvoir de voir l’art, et aussi profondément étudier différents aspects de l’art, y compris l’histoire de l’art.
Grâce à l’IESA, j’ai pu intégrer l’Ecole supérieure de la culture et des arts de l’université d’Hongik, qui est la meilleure université dans ce domaine en Corée. De plus notre département a signé un accord avec l’université londonienne de Northumbrie, et j’aimerais que l’IESA puisse en faire de même.