Rencontre avec Etienne Monnier, étudiant en deuxième année Bachelor Production et médiation culturelles à l'IESA arts&culture.
Il est affilié à l'équipe marketing et communication du projet annuel des deuxièmes années de Bachelor pour le projet NO FRONTIERS.
NO FRONTIERS est un projet solidaire et humain qui soutient l’accueil et l’intégration des réfugiés, le lundi 19 mars sera la journée à suivre !
Pourquoi avez-vous décidé d'intégrer l'IESA arts&culture ?
Après, avoir arrêté mes études à 16 ans, j'ai eu l'occasion de travailler avec différents professionnels de la musique, du cinéma et du théâtre. Je suis musicien et j'ai toujours été attiré par le domaine artistique.
Le fait de ne pas avoir de diplôme étant un frein pour moi, par conséquent j'ai décidé de reprendre mes études à 20 ans pour passer un bac littéraire dans un premier temps. Suite à cela et après réflexion, J'ai décidé de m'orienter vers la production culturelle, et l'IESA par sa démarche de proposer une formation professionnalisante en rythme alterné entre cours et stages semblait correspondre à mon profil à l'instar d'un cursus universitaire classique et majoritairement théorique.
Pouvez-vous nous en dire plus sur cet évènement : ambition première, partenariat, implication des étudiants ?
Concernant l'évènement, le choix du sujet revient entièrement à l'ensemble de l'équipe étudiante. Nous avons passé plusieurs séances de travail à définir ce qui nous semblait important à traiter au sein de la culture, les valeurs que nous voulions partager en s'appuyant sur les différents parcours de chacun.
Ce qui, d'une certaine manière ramène à la première question, pourquoi avons-nous intégré l'IESA et pourquoi souhaitons-nous travailler dans la culture aujourd'hui.
La question des réfugiés en France étant sujet à beaucoup de débats, nous avons convenu qu'il fallait sensibiliser les publics autour de cet enjeu humain, par la culture et l'information, qui devraient être accessibles à tous.
L'évènement se décompose en deux parties distinctes, une première partie axée sur le travail et la mobilisation de plusieurs associations aidant les réfugiés à s'intégrer ; puis une seconde partie proposant 4 concerts de jeunes artistes émergents tout aussi sensibles que nous à ces questions.
Lors de la réalisation de ce projet nous nous sommes également entourés de différents partenaires que ce soit acteurs culturels mais aussi presses/médias qui nous ont beaucoup aidé dans le relai des informations et la naissance de cette communauté autour de NO FRONTIERS.