Entretien avec Cassandra Michel et Enzo Costiou à propos du ART STUDENTS WEEK
Ce salon récompense les meilleurs profils Instagram des candidats participant à ce concours qui se déroule exclusivement sur Instagram. En partenariat avec « The Unik Art Magazine », le but des étudiants étaient de préparer un texte à partir de leur interviews avec les artistes du concours. Ils ont tous les deux travaillé avec Anaïd Demir, intervenante à l'IESA sur un atelier d'écriture à la critique d'art. Anaid était juré de ce concours.
- Quelle formation suivez-vous à l’IESA arts&culture ?
Cassandra : Je suis en Bachelor 3 production et médiation culturelle spécialisation art visuel et exposition.
Enzo : Je suis en Bachelor 3 Médiation Culturelle spécialité exposition.
- Pourquoi avez-vous décidé d’intégrer l’IESA arts&culture?
Cassandra : Après deux ans d’étude en art, je me suis rendu compte que travailler avec les artistes m’intéressais plus que d’être artiste.
Enzo : J’ai décidé d’intégrer l’IESA pour apprendre le métier de galeriste. Je retrouvais l’aspect commercial dans lequel je me suis toujours tourné et ma passion pour l’art.
- Pouvez-vous nous présenter en deux mots le projet ART STUDENTS WEEK ?
La Art Student Week est une semaine où les participants au concours postent leurs travaux sur Instagram avec le hashtag #ASW21 ; un jury évalue leur post pour ensuite faire une sélection de 10 finalistes et élire le gagnant. C’est l’occasion de découvrir le travail des artistes de demain et de leur donner une bonne visibilité.
- Comment s’est passé l’atelier d’écriture des interviews pour les artistes ?
Anaid Demir nous a donné des directives larges à suivre concernant les interviews, ensuite c’était à nous de voir comment nous voulions procéder ; rencontrer l’artiste ou lui envoyer nos questions, etc. Puis une fois les interviews faites et corrigées nous pouvions nous en servir pour écrire le portrait des artistes qui ont été publié sur Unik Artmag.
- Quel est l’artiste sur lequel vous avez écrit un article ?
Cassandra : J’ai réalisé l’interview et le portrait de Léa Taillefert.
Enzo : L’artiste que j’ai dû interviewer était Cirt Hash, un artiste mélant l’art contemporain et le street art à travers de pochoirs qu’il nomme « Fantôme ». Ses œuvres sont destinées à un large public car il ne catégorise pas ses « Fantômes », sans visage et sans nom, cela pourrait être n’importe qui sur ces œuvres.