Avec le recul de dix années au service de la formation aux métiers de la culture et sa connaissance de l'évolution de ce secteur, il répond à la légitime préoccupation des parents et des étudiants qui souhaitent se former aux professions culturelles en période de crise.
Loin d'une analyse pessimiste, il défend la place essentielle des projets culturels dans notre société et l'apport d'une pédagogie fondée sur la production de projets.
En permettant à ses étudiants d'être opérationnels rapidement et de développer des projets culturels qui ne nécessitent pas forcément des structures coûteuses en fonctionnement, il assure que l'IESA répond à la demande des acteurs de ce secteur : entreprises, institutions et collectivités territoriales.
> Découvrez l'article de Boris Grébille sur le Journal des Grandes Ecoles & des Universités